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    CE BLOG A UN BUT PUREMENT AMICAL

     

    ET NON COMMERCIAL !

     

    TOUT COMMENTAIRE DE STYLE PULICITAIRE - SANS MON AUTORISATION ET SANS FRAIS QUI PLUS EST - EST et SERA AUTOMATIQUEMENT DETRUIT.

     

    EN CONSEQUENCE MERCI AUX INTERESSES QUI SE RECONNAITRONT DE NE PAS INSISTER !!!

     

     MERCI ! BON NOEL !

     

     

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    A TOUTE LA TERRE !  QUE FINISSENT LES GUERRES ET LES COLERES

     

    PLACE A LA JOIE * LA PAIX * LA LUMIERE

     

    DANS TOUS LES COEURS AU MOINS "UN PEU" DE VRAI BONHEUR ! 

     

     


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    Quel délice ! D'autant qu'elle se fait de plus en plus remplacer - hélas - par une bûche glacée

    (très bonne également) mais enfin la glace et les gâteaux glacés on peut en manger

    à longueur d'année, spécialement l'été ...

    Et puis aussi bonnes que soient ces bûches glacées,

    pour moi elles ne vaudront jamais la vraie bonne bûche ....

    Il m'est même arrivé - du temps où je cuisinais encore et était équipée pour - d'en faire !!!

     

    Régalez vous bien .... si vous n'êtes pas au régime hélas !


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    Un petit pré-cadeau de poésie, une de celles que j'aime particulièrement

    et d'un auteur que j'apprécie bcp également …. 

    …. Elle avait pris ce pli …

    Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
    De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
    Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère;
    Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
    Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s’asseyait
    Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
    Puis soudain s’en allait comme un oiseau qui passe.
    Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
    Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
    Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
    Quelque arabesque folle et qu’elle avait tracée,
    Et mainte page blanche entre ses mains froissée
    Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
    Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
    Et c’était un esprit avant d’être une femme.
    Son regard reflétait la clarté de son âme.
    Elle me consultait sur tout à tous moments.
    Oh! que de soirs d’hiver radieux et charmants
    Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
    Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
    Tout près, quelques amis causant au coin du feu !
    J’appelais cette vie être content de peu !
    Et dire qu’elle est morte! Hélas! que Dieu m’assiste !
    Je n’étais jamais gai quand je la sentais triste ;
    J’étais morne au milieu du bal le plus joyeux
    Si j’avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.

    Victor Hugo.

     

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