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    Ne soyez pas trompé par mon visage parce que je porte mille masques
    Et aucun n'est mon vrai moi.
    N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.

    Je vous donne l'impression d'être sûr de moi,
    Plein de confiance et de tranquillité,
    Que je n'ai besoin de personne : Ne me croyez pas.

    Sous ce masque, il y a le vrai moi, confus, craintif, isolé.
    C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher,
    Pour me protéger du regard qui voit.

    Et pourtant ce regard est précisément mon salut.
    A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour,
    C'est la seule chose qui peut me libérer
    Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.

    J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bon à rien,
    Et que vous le verrez et me rejetterez.
    Alors, commence la parade des masques.
    Je bavarde avec vous,
    Je vous dis tout ce qui n'est rien,
    Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.

    S'il vous plaît, écoutez soigneusement et essayez d'entendre ce que je ne dis pas. 
     J'ai vraiment envie d'être sincère, vrai, spontané, d'être moi-même.
    Mais il faut que vous m'aidiez. Il faut que vous me tendiez la main.

    Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant,
    Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre par véritable intérêt pour moi,
    Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.

    Par votre sensitivité, votre sympathie, votre puissance de compréhension
    Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude,
    De ma prison solitaire.

    Ce n'est pas facile pour vous,
    Car plus vous m'approchez, plus je me défends.

    Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons
    C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir.
    Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme
    Mais douce, car un enfant est sensible.

    Qui suis-je, vous demandez-vous ?
    Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien.
    Car je suis chaque homme, je suis chaque femme que vous rencontrez,
    Et je suis aussi VOUS-MEME.

    Anonyme

     

     

     


    4 commentaires
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    Prière de celui qui soigne

    Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras.
    Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance.
    Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix
    je t'offre mes efforts et ma persévérance.

    Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir,
    celui qui me demande de le réconforter.
    Donne-moi d'écouter sans relâche.
    Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal »,
    celui qui me demande encore de l'apaiser.
    Donne-moi de soigner sans relâche.
    Donne-moi de donner mes instants
    à tous ceux qui demandent le soulagement.
    Donne-moi de me donner sans cesse.
    Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner,
    je suis fait avant tout pour servir.
    Donne-moi de ne pas m'affaiblir.
    Garde-moi de la peur et de l'indifférence,
    garde-moi de l'oubli.
    Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue.
    Aide-moi à marcher avec lui.

    Je t'offre, mon Dieu,
    ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager,
    ma force pour tenir, et ma vie pour soigner.

     

    Anonyme

     

     

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    3 commentaires
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    ET POUR DIRE COMBIEN CELA ME FAIT PLAISIR. MERCI DE M'ACCUEILLIR !

     

     

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    8 commentaires
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    no comment !!!

    3 commentaires
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    Dieu m’a demandé : " Tu voudrais donc m’interviewer ? " Je lui ai dit : " Si tu as le temps "

    Dieu souriait : " Mon temps c’est l’éternité. Quelle question penses-tu me poser ?

    - Qu’est ce qui te surprend le plus chez les humains ? "

    Dieu a répondu : " Qu’ils se lassent de l’enfance, qu’ils se hâtent de grandir et puis qu’ils désirent redevenir enfant. Qu’ils perdent leur santé pour gagner de l’argent et puis qu’ils perdent leur argent afin de regagner leur santé.

    En s’angoissant pour l’avenir, ils oublient le présent, alors ils ne vivent ni dans le présent ni dans l’avenir. Qu’ils vivent comme s’ils ne vont jamais mourir, et qu’ils meurent comme s’ils n’ont jamais vécu. "

    Dieu a pris ma main dans la sienne et nous restons muets pendant un moment.

     

    Extrait d'un texte traduit par E.J. Emerson (site La Bonne Nouvelle)

     

     


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