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    Quand lui n'achève pas son travail,
    je me dis, il est paresseux.
    Quand moi, je n'achève pas mon travail,
    c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.

    Quand lui parle de quelqu'un,
    c'est de la médisance.
    Quand je le fais,
    c'est de la critique constructive.

    Quand lui tient à son point de vue,
    c'est un entêté.
    Quand moi je tiens à mon point de vue,
    c'est de la fermeté.

    Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
    il est lent.
    Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
    je suis soigneux.

    Quand lui est aimable,
    il doit avoir une idée derrière la tête.
    Quand moi je suis aimable,
    je suis vertueux.

    Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
    il bâcle.
    Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
    je suis habile.

    Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
    il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
    Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
    je prends des initiatives.

    Quand lui défend ses droits,
    c'est un mauvais esprit.
    Quand moi je défends mes droits,
    je montre du caractère.

    Pierre Descouvemont,

     


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    Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. [...]

    Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitié et de l'amour) a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre.

    Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant.

    Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi (oeuvre de longue haleine) est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur.

    Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980

     


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  •  En attendant que je puisse passer chez chacun(e) de vous, je tiens à vous dire un grand merci pour tous vos gentils messages et encouragements pour mon déménagement.

    Après avoir été rassurée lorsque le logement a été enfin trouvé, je commence à stresser de nouveau car si ce déménagement est loin d'être le premier, certes, j'ai vieilli évidemment, et mon entourage aussi, a été dispersé pour divers horizons ou raisons ; c'est vrai que de nouvelles relations se sont tissées (heureusement car impossible autrement .... vous retrouvez là mon combat depuis des années contre la solitude, et en faveur de ceux et celles qui vivent seuls, dont je vous parle souvent) ... mais ... c'est aussi là que l'on peut mesurer le "degré" de l'amitié ! Je n'avais pas encore tellement rencontré ce que je rencontre depuis quelques mois (et je pense ne pas être seule à avoir rencontré cette surprise) : alors que je ne demandais rien, et n'en avait pas l'intention, ne faisant que parler de tel ou tel problème que je rencontrais ou/et avais rencontré, au cours de conversations avec des ami(e)s, j'ai été très surprise d'entendre des objections/refus d'aide de leur part, s'imaginant que j'allais leur demander de me prêter une somme d'argent ou de m'aider à faire mes cartons !!! Au moins je sais à quoi m'en tenir .... et heureusement que je n'avais pas eu idée de demander cette aide .... cela m'a évité une déception plus grande. Mais la surprise reste tout de même !

    Ne peut on parler entre amis sans que nos paroles soient interprétées comme intéressées ? Il faut dire à leur corps défendant, que d'autres amitiés se sont glissées entre la nôtre !

    Par ailleurs, excepté ce qu'il m'est impossible, j'ai tjs accepté et même proposé de rendre moi même service en différentes circonstances, ce que je trouvais bien normal !

    Ah l'amitié, à laquelle je crois pourtant tellement, pourvu justement qu'elle soit vraie et désintéressée ! Pas si facile !

    J'ai écrit ces lignes - c'est rare que je me dévoile à ce point sur un blog - non pas pour me plaindre, mais pour dire que tous ces beaux textes et beaux discours sur l'amour et l'amitié que j'ai moi même trouvés bouleversants et si vrais, je ne les lis plus avec le même regard du coeur (et je sais que ns sommes plusieurs sinon nombreux ds le même cas). Cela m'a peut être apporté d'être moins utopique, même si cela me fait parfois mal, et aussi malgré tout de vouloir croire à la véritable amitié, au véritable amour (couple ou famille), sachant que l'un et l'autre sont très beaux mais très exigents tout en même temps !

     

    Heureusement il y en a une qui n'est qu'une connaissance de longue date et que je rencontre que de temps en temps depuis deux ans, qui elle, d'elle même sans que je demande quoi que ce soit, s'est proposée de m'aider au moins deux heures (car elle est très occupée et souvent en déplacement) !!!  Matière à réflexion ? Non ?

    Pour ce qui est du reste je quémande ici ou là, notamment parmi les membres de mes bénévolats, mais tout le monde est très occupé ou encore n'est plus tout jeune ou en santé suffisante ! Je suis reconnaissante auprès de ceux qui m'ont déjà aidée d'une façon ou d'une autre par le passé.

    Conclusion : L'amitié .... les relations !  Et c'est très souvent par ses propres expériences que l'on peut mieux comprendre les autres, et la vie.

     

     


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    Bonjour, s'il te plaît, merci, pardon ...

     

    Oui et alors ? Rien que de très ordinaire, mots du langage courant, quotidien ...

    En êtes-vous si sûrs ?

    Ne vous est-il jamais arrivé d'être bousculé par quelqu'un, avec un chariot au supermarché par exemple, et

    alors que vous vous frottez la cheville, cette personne continue son chemin sans un regard et sans une

    parole. Ou pour vous messieurs, qui êtes souvent un peu sensibles sur la question, comment

    réagissez-vous quand votre voisin de parking ouvre violemment sa portière de voiture contre votre

    carrosserie ? Surtout s'il vous regarde d'un air mauvais qui décourage tout dialogue ?

    Vous avez un peu envie de lui « apprendre la politesse » n'est ce pas ? Car vous êtes plus choqué par le

    comportement de cette personne que par son geste maladroit et le plus souvent non-intentionnel.

    

    Du côté des enfants, nous sommes aussi souvent surpris. Un enfant qui crie, voire même qui hurle, pour

    exiger quelque chose de sa maman, en général une friandise ou un jouet, et sa maman qui lui donne le

    plus vite possible pour « avoir la paix », nous laissent souvent assez mal à l'aise. Un enfant qui refuse

    systématiquement de dire bonjour ou qui fait la moue en place de dire merci, a souvent tendance à nous

    agacer un peu, n'est ce pas ?

    

    Je n'ai pas la prétention d'être parfaite, et je ne connais aucun parent parfait, mais il y a un minimum requis

    pour la vie en société : la politesse. Elle est la base du respect de l'autre, et elle s'apprend dès le plus jeune

    âge. De plus être chrétien ne nous dispense pas des bases de la vie avec les autres, bien au contraire. En

    effet si nous avons un "excellent témoignage" mais que nos enfants sont spécialement désagréables et

    impolis, il y a un vrai problème, ne croyez-vous pas ? Et tôt ou tard notre témoignage perdra

     de son impact,

    et c'est normal, car nous sommes avant tout chrétiens chez nous !

    "Parents, élevez vos enfants dans une discipline aimante

    que le Seigneur puisse approuver"

    Ephésiens 6 : 4b, version "Parole Vivante"

    

    Attention, je ne vous parle pas de ces « manuels de bonne conduite », utilisés au XIXè siècle et au début

    du XXè ....... Non je parle de la politesse de base, celle qu'on peut, et qu'on doit apprendre à son bébé dès qu'il commence à bien comprendre. Il n'a pas plus de difficulté à dire merci qu'à faire toute autre chose. Bonjour ! Au revoir ! Rien de bien compliqué.

    ......

    S'il te plaît .... Merci : un peu plus dur

    

    ......

     

     

    Pardon, excusez-moi : encore un peu plus difficile.

     Mais essayez, vous verrez ça en vaut le coup, et surtout n'oubliez pas d'être aussi

    polis et respectueux

    avec vos enfants et d'utiliser les petits mots qui changent tout ...

    Au revoir et Merci d'avoir lu ce texte jusqu'au bout ! ...

     

    Elisabeth Dugas

     

    large extrait de la lettre du site du Top Chrétien.com

     

     

     


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      Merci de tout coeur chères amies qui passez régulièrement rendre une petite visite à mon blog et y déposer de si gentils commentaires que j'apprécie tellement. Je n'arrive guère à tenir mes promesses de passer vous voir à mon tour, à quelques petites exceptions près .... pourtant ce n'est pas la bonne volonté qui manque .... d'autant que j'aime bcp vos blogs et ces petits échanges sont très sympathiques .....

    Bon j'espère qu'enfin sous peu je vais y parvenir .... même si un déménagement s'annonce en principe pour ce trimestre ... depuis le temps qu'il en était question cette fois il va falloir laisser le champ libre aux démolisseurs. J'ai un peu mal au coeur car ce petit jardinet en bas de nos "vieux" immeubles, et ces arbres qui ds deux mois seront en fleurs (magnifiques) sans compter les petits oiseaux qui chantaient dès 5 heures du matin ... et les minous des voisins qui traversaient la rue délaissant leur appartement pour une promenade en plein air ds notre petit coin !!! Tout ce petit monde va être bien cnamboulé quand les gros engins arriveront et démoliront les maisons ....

     

    Bien sûr je vous tiendrai au courant.

     


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