Pourtant de nos jours ... on n'aime guère attendre .... en toutes choses ...

j'entendais l'autre jour toute une réflexion sur ce sujet, réflexion très intéressante d'ailleurs.

Vous connaissez peut être et même sans doute ce très beau conte d'Andersen ....

Il est tout à fait - hélas - à sa place en ce temps !

Petite fille très pauvre qui a tout juste trois allumettes mais des allumettes magiques.
Elle peut faire un voeu en craquant chaque allumette. Alors elle voit des choses magnifiques, et notamment une belle table de réveillon ! mais hélas lorsque l'allumette s'éteind elle se retrouve ds le froid, sur son trottoir, personne ne l'accueillant pour se réchauffer et se nourrir.

Devinez bien sûr ce qu'il arriva ....
Les contes d'Andersen sont très beaux (j'aime bcp Andersen) mais contrairement à bien d'autres contes, s

e terminent toujours mal .... ou plutôt .... de façon très proches de la vie.

Les contes (que l'on pense surtout pr les enfants) en fait ont été à l'origine écrit pour des adultes, et pour être porteurs (un peu au fond comme les fables de La Fontaine) de réflexions.

Certains psychologues même les utilisent.

Rire, c’est risquer d’avoir l’air ridicule.

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.

 Vouloir rejoindre l’autre, c’est prendre le risque de s’impliquer.

Exprimer ses sentiments, c’est risquer de révéler sa véritable façon d’être,
d’affirmer à la face du monde ses idées et ses rêves, c’est risquer de perdre.

Aimer, c’est prendre le risque de ne pas être aimé en retour.

  Espérer, c’est risquer le désespoir.

 Essayer, c’est risquer d’échouer.

Mais on se doit de risquer
 parce que la plus sérieuse menace à la vie elle-même
  se trouve dans l’absence du risque…

                                                                     Anonyme

ENCORE MOINS CELLES d'HALLOWEEN ! CETTE FETE QUI N EN N EST PAS UNE !

D'ORIGINE CELTIQUE PUIS APRES UN DETOUR PAR LES USA elle EST REVENUE EN FRANCE - PEUT ETRE D'AUTRES PAYS AUSSI ???? -

ET SE VEUT FAIRE "concurrence" si l'on peut dire à LA FETE CHRESTIENNE DE LA TOUSSAINT.

D'où sa date du 31 octobre.

Croyants ou non croyants, je respecte les humains c'est tout à fait normal, mais j'aspire à la réciproqe ;

bcp de mamans s'amusent en costumant leurs petits, mais bien peu de personnes connaissent le vrai sens

de cette "fête".

Je trouve tellement dommages - même si tous les enfants à toutes les époques ont aimé se déguiser - mais ces déguisements laids me font peine, alors que les enfants sont si beaux !

et cela donne parfois - c'est dommage là aussi - une occasion de mettre des mots blessants

dans de si jolies bouches ! 

J'ai aussi souvenir, alors que je travaillais de nuit et rentrai par l'un des tout derniers métros,

dont la sortie se trouvait près d un café où bcp "festoyaient" encore, un 31 octobre pour ne pas dire déjà 1er novembre, de jeunes hommes ayant peut être un peu trop fait la fête,

s'attaquant avec .... un fauteuil roulant, hélas, que l'un d'eux (vrai ou faux) handicapté lançait de toutes ses

forces dans les jambes des personnes sortant du métro.

Sur ce bonne soirée à vous et bon dimanche.

BONNES VACANCES AUX ECOLIERS !

UN PEU STUDIEUSES AUSSI SI POSSIBLE, pour ne pas tout avoir oublié au retour !!!

PS. Pour ceux et celles qui aimeraient savoir un peu plus de choses sur Halloween, il y a toute une page, très bien présentée, mais bien trop longue pr que je la transcrive ici même avec l'accord de son auteur : vous pourrez trouver l'origine et les significations de tous les gestes et costumes, citrouilles etc etc .... sur le site du cybercuré (Nanterre), vraiment très intéressant pour tous, et notamment je pense pour les mamans qui n'ont aucune idée réelle de cette manifestation, alors que vous avez bien raison il y a bien d'autres occasions de faire la fête et de se costumer ne serait ce qu'à MARDI GRAS et la MI CAREME ! Quant aux bonbons  quémandés comment peut on faire dire de vilaines paroles à nos enfants !

Lorsque j'étais petite Maman m'a racontée que lorsqu'elle même était petite fille en Bretagne, il y avait une coutume au moment de Pâques, où les enfants passaient de maison en maison, demandant aussi qq sous ou des bonbons, mais en échange d'oeufs qu'ils portaient dans un panier.