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    L'Hiver n'est il pas seulement parfois une saison du climat,
    mais aussi même en plein été il peut envahir les coeurs, le monde ....
    cette vidéo nous invite à l'espérance, à l'amour ....
    et puis .... aussi à un peu de chaleur et de beauté dans l'une des
    Iles belle parmi les plus belles ...

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    Nous avons tous besoin que d'autres se tiennent à nos côtés - pour nous défendre, nous protéger et nous aider à rester sur la bonne voie.

    ..... Aujourd'hui, dans le monde occidental, tout tourne autour de moi - mes besoins, mes intérêts, mes désirs et mes ambitions. Or Paul nous enseigne à nous préoccuper également des autres.

    ..... Mais si d'autres se

    tiennent à vos côtés et vous aident, vous pouvez triompher.

    Voici un bon conseil tiré du livre de l'Ecclésiaste : "Deux personnes peuvent résister à une attaque qui viendrait à bout d'un homme seul" (Ecclésiaste 4.12).

    Avez-vous quelqu'un qui se soucie de vous ? Quelqu'un qui vous défend et qui s'occupe de votre bien .... ? Par contre, celui qui est seul est bien à plaindre, car s'il tombe il n'a personne pour le relever". Vous avez besoin des autres !

     .......

    Nous avons tous besoin d'autres qui marchent avec nous, travaillent avec nous et veillent sur nous. Vous

    pouvez essayer, mais vous n'arriverez pas à bien mener votre vie tout seul. Développez des relations et

    apprenez à considérer les intérêts de ceux qui se tiennent à vos côtés, au lieu de considérer uniquement

    les vôtres.

     

     Extrait d'une lettre de Rick Warren du Top Chrétien.

     

    Puis je me permettre d'ajouter une petite réaction après avoir dit combien j'approuve le texte (en son entier que vous pouvez consulter sur le site du Top Chrétien, mais qui est aussi je pense très valable ds l'extrait ci-dessus) .... oui j'approuve et je voudrais dire aussi qu'il n'est pas étonnant et réconfortant de voir tant de nos chers petits amis à quatre pattes apporter tant de réconfort à leur façon et en affection à tant de personnes seules malgré nos temps modernes et des villes très peuplées !

    


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    "Dans la société de performance que l'on nous propose aujourd'hui, le "A quoi ça sert"  est devenu une quasi-religion ! Il faut que tout ce que nous faisons soit impérativement UTILE ! Plus aucune place pour le FUTILE § Quelle tristesse ! 

    .........

    Certains chercheurs ont découvert que chez les fourmis, comme chez les abeilles, il y avait de tout : des ouvrières, des soldats, des reines, etc..., et puis, à leur grande surprise, il y a celles qui ne font rien, mais alors rien. Elles ne sont classables nulle part ! Sont-elles les moines de l'essaim ou de la fourmilière, les artistes, les poètes, les peintes, les écrivains ? Pas de réponse ! Dans toute société organisée, il y a place pour la futilité, c'est à ce prix que l'utile trouve son sens !

    Vous savez, nous autres les Chrétiens, ... avec nos cultes, nos réunions de prière, nos réunions de maison, nos rassemblements de jeunesse, nous suscitons bien des questions de la part de nos contemporains, et particulièrement celle-ci : "A quoi ça sert ?". C'est tellement futile d'aller prier au lieu de passer la soirée chez soi, d'aller au culte au lieu de faire la grasse matinée, de fréquenter le groupe de jeunesse d'une église au lieu de sortir en boîte avec d'autres jeunes, etc. Sans doute est-ce futile aux yeux de beaucoup et peut^-être même, parfois, que dans les moments de doute, certains croyants sont tentés de se poser la question "A quoi ça sert ?" Sachez le définitivement, c'est grâce à ce genre de futilité là .... qu'il y a encore de l'espoir dans ce bas monde, que des familles entières vont bien, que des gens sortent de leur malaise !


    Alors, à l'avenir, avant de nous demander "A quoi ça sert ?" réfléchissons futile, cela nous permettra de rester utile".

    Samuel Foucart (d'après une lettre du Top Chrétien).

     

     


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    La crise est une opportunité.

                Voici ce que nous dit Yves Boulvin, dans son livre  "Choisis la Vie" écrit en collaboration avec Anne Villemin :

    "La survenue d’une crise – et nous en traversons tous – est une occasion de retournement, de mutation. Au début de ce qui est en réalité une crise d’identité, de croissance, je me sens très vulnérable, balloté, perdu, abandonné.

                Il arrive un moment où j’ai à prendre une décision : ou je baisse les bras  et je me laisse couler, ou bien je choisis de faire un pas en avant. Ce sera par exemple une demande d’aide, un changement professionnel, la réalisation d’un projet qui me tient à cœur depuis longtemps, ou la mise à jour de ce que je suis vraiment.

                Heureuse retraite qui me donne le temps et l’énergie – si je peux la prendre suffisamment tôt – de réaliser ma vocation, pour me permettre d’être enfin moi-même, car il n’est jamais trop tard.

                Je n’oublie pas qu’une même vague peut noyer le nageur inexpérimenté et faire les délices du surfeur ; que les mêmes chutes peuvent faire chavirer un canoë et remplir de joie ceux qui descendent les gorges de l’Ardèche ou du Verdon. Ils savent qu’il y aura des passages difficiles et apprennent à les franchir ; c’est pour eux une joyeuse aventure. Et si je voyais ma vie comme cette épreuve sportive ? Je vais dans le sens du courant, je me laisse porter par lui, et je m’adapte aux accidents de parcours.

                Je me souviens qu’un tunnel a toujours une sortie ; qu’une montagne, aussi escarpée soit-elle, a toujours un sommet. La souffrance qui est la mienne en ce moment, a un début et aura une fin. A moi d’en faire une traversée ou  une ascension glorieuse."

     

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    « J’ai d’abord découvert combien il était nécessaire, ds tte relation, d’oser se dire, de nommer ses sentiments, son vécu, ses émotions ou ses désirs, d’aller au-delà du silence des mots pour dépasser la violence des maux. »

    « Ma 2e découverte a été de comprendre que ttes les maladies (mal-à-dit) sont des langages symboliques, avec lesquels une personne en difficultés de santé tente de dire ou de ne pas dire l’insupportable, l’indicible. »

    « Ma 3e découverte a été d’accepter qu’au-delà de nos 5 sens les plus habituellement utilisés, ns possédions chacun d’entre nous 5 sens encore plus merveilleux, plus rarement utilisés : l’émotion, l’imagination, l’intuition symbolique, l’inspiration créatrice et la conscience universelle qui ns relie au divin. »

     Extrait de son livre "Contes à guérir contes à grandir"


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